Mary, une femme âgée et malade, reçoit une mystérieuse lettre qui la bouleverse et lui fait avancer son départ pour Bruny, une île située au sud de la Tasmanie où autrefois elle a été l’épouse du gardien de phare (d’où le titre anglais, The Lightkeeper’s Wife). C’est sur un bout de côte sauvage, dans un cottage isolé, qu’elle veut renouer avec son passé et ses souvenirs en attendant la mort. Au programme, nostalgie et description des paysages…
Que c’est long ! Que c’est lent !
Je suis arrivée à la page 296, soit à peu près à la moitié, plus épuisée encore que la vieille Mary qui en est toujours à se demander ce qu’elle va faire de cette maudite lettre.
Allégé de 200 ou 300 pages, débarrassé des scènes et des détails inutiles, le roman serait parfait, car il n’est pas mal écrit et possède un certain charme. Le problème n'est pas tant la longueur que le fait qu'une bonne partie de son contenu ne présente pas grand intérêt.
Allégé de 200 ou 300 pages, débarrassé des scènes et des détails inutiles, le roman serait parfait, car il n’est pas mal écrit et possède un certain charme. Le problème n'est pas tant la longueur que le fait qu'une bonne partie de son contenu ne présente pas grand intérêt.
C'est peu stimulant au point de vue intellectuel et donc assez rapidement ennuyeux.
Karen VIGGERS, La Mémoire des embruns, Le Livre de Poche, 2015, 571 p.
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